Le conte de Julien, jeune étudiant pris en mains

Catégories : Rencontres BDSM Homme soumis, Femdom Domination féminine
il y a 8 ans

Étudiant de 21 ans, nouvellement arrivé à Paris, j’avais une obsession de plus en plus intense, rencontrer et servir une femme dominatrice. J’ai parcouru tous les soirs les sites BDSM pendant 3 mois sans oser répondre à une annonce. Un soir j’ai décidé qu’il était temps que je me lance. Certaines femmes m’ont répondu que j’étais trop jeune et sans expérience , d’autres m’ont laissé sans réponse. Le miracle s’est produit un 2 décembre, une très élégante femme de 49 ans était d’accord pour « m’essayer ». L’idée d’éduquer, façonner un novice la séduisait. Elle n’avait aucun tabou mais était prête à me dresser progressivement pour que j’apprenne Très élégante, très souriante, elle avait une autorité naturelle et indiscutable. Elle était brune aux yeux bleus, les cheveux mi longs, grande, avec des formes généreuses (1m72, 76 kg). Divorcée, elle vivait seule dans un très beau pavillon situé à Boulogne Billancourt. Elle ne travaillait pas, sa fille de 22 ans ne vivait plus chez elle. Elle occupait ses journées à voir ses amis ou prendre soins d’elle.

Très vite elle a défini mon rôle de sa belle voix douce et sensuelle. J’étais là pour lui rendre la vie la plus agréable possible. Je devais être à la fois une « boniche », un masseur, un chauffeur, un esclave sexuel, un souffre douleur… Un jouet utile prêt à répondre à n’importe quelle exigence aussi humiliante, perverse ou sadique soit-elle. Avec un novice elle pouvait façonner un esclave exactement comme elle le souhaitait.

« Tu es comme une chaussure neuve. Il faut que le cuir se fasse, ça va prendre un peu de temps mais après tu vas épouser parfaitement la forme de mon pied… »

Elle a voulu également mettre les choses au clair, mes envies, mes fantasmes, ce que j’aime, n’aime pas… elle s’en fiche totalement. Une seule chose peut compter, son bonheur, son plaisir et son bien être. Je dois être prêt à me fatiguer, à souffrir pour lui rendre la vie encore plus douce et plus amusante. Ma première épreuve a été de copier 15 fois, avec la plus belle écriture, les définitions du dictionnaire des mots « sacrifice », « dévotion », « déesse » et « esclave ».

Elle m’a convoqué une première fois un dimanche à11H. Je n’ai presque pas dormi la nuit avant le RDV. J’étais nerveux, j’avais très peur. Elle était particulièrement sexy avec un pantalon en cuir noir moulant, des escarpins à haut talons noirs et un chemisier blanc. Je me sentais un peu bête, sans savoir que dire, tétanisé devant elle, mes pages de définitions copiées. Tout en gardant son sourire elle me pris les pages des mains et me flanqua une gifle magistrale. ma joue était en feu et mon oreille bourdonnait.

– A genoux esclave ! mains à plat par terre !

Aussitôt j’entendis le bruit du papier qu’on déchire. Les morceaux de feuilles tombèrent sur moi pour atterrir sur le sol. Deux heures de travail répandu autour de moi. Je me sentais ridicule.

Je restais un moment les yeux fixés sur ses chaussures magnifiques qui sublimaient la féminité provocante de ma dompteuse. Son pied droit est venu se plaquer au dessus de ma tête pour l’écraser sur sa chaussure gauche.

– Baise mes chaussures maintenant.

– A chaque fois que tu te présenteras devant moi pour dire bonjour, tu te prosterneras. A chaque fois que tu t’adresses à moi, je veux entendre « maîtresse ». Je te punirai à chaque faute. Des fois je te punirai juste parce que j’en ai envie, pour me divertir un peu.

– Maintenant relève toi et déshabille toi entièrement, dépêche toi, je te veux nu !

Pendant que je me déshabillais elle saisit sur le guéridon un objet que je n’avais pas remarqué à mon arrivée mais qui m’effraya dès que je l’aperçu, une cravache.

Une fois que je fus entièrement nu, elle me dévisagea de la tête aux pieds tout en parcourant mon corps du bout de sa cravache. J’étais rouge de honte. Sa cravache cingla un coup sur mes fesses. je n’ai pus m’empêcher de pousser un petit cri de douleur. Elle éclata de rire et n’avait pas l’air fâchée.

– Tu cries juste pour ça ? Il va falloir t’habituer… ce n’est que le début mon petit esclave. Bon allez, tu as beaucoup de boulot qui t’attend… Je veux un ménage impeccable, de fond en comble. Prends tes affaires, je vais te montrer tes outils et ton beau costume de parfaite boniche.

Elle me montra un placard à balais où il y avait des produits d’entretien, des balais, des brosses, de vieilles brosses à dents, des chiffons, des sceaux, un aspirateur, etc. Elle tira d’une étagère un tablier blanc en coton, à dentelles.

– Tiens, mets ça…

Une nouvelle fois, je reçu un coup sec de cravache sur les fesses.

– Alors qu’est-ce qu’on dit ?

– Merci Maîtresse

– C’est bien, baise ma main.

Dit-elle en me présentant sa main droite, tenant toujours la cravache.

Je devais commencer par la salle de bain, j’avais 40′. Elle m’a d’emblée retiré le balai que j’avais prévu pour passer la serpillière.

– Tu n’as pas besoin de ça fainéant, la serpillière c’est à 4 pattes !

D’abord ranger chaque produit, nettoyer les flacons, les essuyer. Replier chaque serviette au carré. Astiquer la baignoire avec une petite brosse, nettoyer les vitres. Elle avait quitté la pièce, ça ne faisait que 20′ que j’avais commencé et j’en avais déjà marre. J’étais beaucoup plus concentré sur ce que j’avais à faire et le temps qu’il me restait plutôt qu’excité. J’étais à quatre pattes en train de passer la serpillière près du lavabo qu’en elle entra dans la salle de bain pour voir mon avancement.

– Oh les belles petites fesses, c’est bien esclave continue !

Elle s’est assise à califourchon sur mon dos pendant que je frottais le sol.

– Je suis venu te soutenir un peu, t’encourager.

J’étais à la fois excité par le contact de ses fesses et cuisses sur mon dos et épuisé par la contrainte de devoir la porter. Le fait de me rendre la tache plus difficile semblait l’amuser beaucoup. D’abord, elle mettait ses pieds là où je devais nettoyer me rendant l’accès à certaines zones impossibles. Elle a finalement soulevé ses pieds me laissant plus de place mais je devais supporter son poids entièrement. Je devais me déplacer avec elle sur mon dos. J’avais mal et ne pensais plus qu’à ma douleur, espérant qu’elle me laisse un peu tranquille le plus vite possible. c’est à ce moment qu’elle commence à faire des mouvements de bassins en avant et en arrière, puis à faire des petits bons sur mon dos. Je n’en pouvais plus, je ne pouvais plus faire mon travail, j’essayais simplement de ne pas m’écrouler en attendant ma libération le plus vite possible. Elle se leva enfin.

– Inspection dans 3′ esclave, tu ferais bien de te dépêcher si tu ne veux pas être corrigé sévèrement ! Dit-elle en quittant la pièce.

Malgré mon travail intense, il était impossible de finir à temps.

Quand elle réapparu j’étais en nage et finissais d’astiquer le robinet, le sceau et la serpillère étaient au milieu de la pièce.

– Tu te fiches de moi? ce n’es pas fini ! Je vais te corriger, tu vas comprendre ce que ça veux dire travailler, minable paresseux, sale esclave…

Elle me donne 2 v i o l ents coups de cravache sur les reins. Je m’écroule à genoux devant ses pieds. Elle me donne à nouveau un coup de cravache sur le dos.

– Pitié Maîtresse…

Elle me donne un coup de cravache sur les fesses.

– Si tu sais m’implorer, je te donnerai une chance.

Je suis prosterné devant elle à proférer des excuses et lui expliquer combien je suis désolé et j’implore sa pitié. Ça doit durer plus de 5′ qui me semblent interminable. je ne sais plus quoi dire pour gagner un peu de compassion.

Elle accepte finalement de m’accorder 10′ de plus pour finir la salle de bain. Je suis infiniment reconnaissant. Je ne réfléchis même plus, je n’ai plus aucun amour propre, plus aucune dignité. Je suis là à implorer une femme que je connais à peine pour qu’elle me laisse finir de nettoyer sa salle de bain. Elle est vraiment très forte.

D’un geste élégant elle retire son escarpin droit et me tends son pied.

– Baise mon pied pour me remercier de ma clémence.

Je m’empare de son magnifique pied triomphal et chaud, couvert de nylon noir et appose mes lèvres pour l’embrasser.

– Merci Maîtresse.

– Je suis trop gentille, la prochaine fois il n’y aura pas de deuxième chance…

Elle remet sa chaussure et donne un coup pied dans le sceau qui se renverse. L’eau sale se répand sur le carrelage que je venais de laver. Lave toi le visage avec cette serpillère, tu es plein se sueur, c’est dégoutant. Je m’exécute. Elle rit.

– Essuie toi avec ce chiffon maintenant.

J’ai honte, je ne me sens pas très bien.

– Quoi c’est quoi cette tête, tu penses que tu es là pourquoi? Si tu veux être mon esclave et tu dois apprendre à me servir correctement. Minable petite m e r d e ! Elle prends le flacon d’huile d’amande douce et en renverse un peu dans la baignoire, avant de tourner les talons.

– Allez au boulot !

La deuxième inspection s’est déroulé sans souci, il fallait que j’attaque les toilettes. Elles n’étaient pas sales mais encore une fois j’étais à quatre pattes pour frotter le sol. Elle m’a demandé de frotter l’intérieur de la cuvette avec une vielle brosse à dents. Elle a exigé que je plonge bien ma main pour frotter sur l’ensemble de la cuvette.

Comme pour chaque inspection, il fallait que j’attende à genoux le verdict. J’étais à la porte des toilettes fébrile.

Elle regardait partout.

– Tu es content de toi ?

La panique me rend muet.

Je rigole… ne fais pas cette tête là… Voilà ce que j’appelle du beau travail, mon petit esclave. C’est bien, il y a encore du chemin, mais tu commences à apprendre.

Elle s’assied sur le couvercle des toilettes en souriant et me demande d’approcher. Elle prend la brosse des toilettes et me caresse la joue avec. Non seulement je me sent humilié et dégradé mais le contact des poils dures est fort désagréable.

– Je t’ai fait peur mon petit esclave? Oh je suis désolée… Ne t’inquiète pas je suis certaine que je vais réussir à te façonner, te dresser comme il faut. Je vais faire de toi un bon esclave, tu vas voir. Tu es sur cette Terre pour une chose, être mon esclave dévoué. Il y a des gens qui sont destinés à avoir une vie difficile et misérable, d’autres une vie facile et merveilleuse, il faut l’accepter. Si tu assumes ton destin, ton rôle, tu vas alléger un peu ton fardeau… et rendre ma vie encore plus douce par la même occasion… Je pense que tu peux y arriver, si non tant pis je prendrai un autre esclave…

Elle s’amuse à me recoiffer avec la brosse.

J’ai une énorme envie d’aller aux toilettes pour faire pipi mais je ne sais absolument pas comment lui demander.

Tête baissée vers ses pieds, j’ose enfin faire ma requête.

J’ai eu un peu peur mais, non sans me laisser « mariner » 2′, elle finit par accepter. En revanche je dois utiliser les toilettes qui se trouvent au fond du jardin, dans la remise.

Je commence à m’incliner un peu plus pour la remercier. Elle écarta très vite ses chaussures.

– Attention à mes chaussures, tu te rinceras bien le visage avec le tuyau d’arrosage avant de rentrer dans la maison. Bon je commence à avoir faim, je vais préparer le déjeuner, dépêche toi et rejoins moi dans la cuisine.

Le froid d’hiver quand on est presque nu, c’est dure. L’eau glacé encore plus… Mais ça s’est relativement bien passé.

Quand je suis rentré dans la cuisine, elle cuisinait tranquillement et gaiement. J’étais impressionné par sa dextérité dans le maniement du couteau sur la planche à légumes. Elle semblait professionnelle.

– Non, habille toi avant de rentrer dans la cuisine, esclave. Je préfère.

Une fois rhabillé elle me donna de petites taches à faire comme l’épluchage des carottes. On voyait que la cuisine était son domaine. Elle faisait sauter des légumes dans différentes poêles, coupait de la viande en dés réguliers. j’étais impressionné. Le parfum des épices me mettait l’eau à la bouche.

Quand tout fut fini elle me donna une nappe à poser sur la table. Elle dressa elle même la table. Malheureusement, il n’y avait qu’une seule assiette.

Je devais rester debout à côté d’elle prêt intervenir dès que je recevais un ordre qui était à chaque fois un seul mot.

– Eau, vin, pain, vinaigre, etc.

A bout d’un moment elle me dit.

– Ecoute esclave, regarde moi dans les yeux… Tu dois me faciliter la vie. Crois-tu que je n’ai que ça à faire de réclamer les choses? Un bon serveur doit anticiper les demandes. Tu dois tout faire pour je puisse avoir un repas agréable, sans avoir à me fatiguer sans cesse. Mon verre d’eau doit être toujours plein, il doit toujours y avoir du pain coupé à côté de moi… Tu dois rester discret et délicat, compris?

– Oui Maîtresse

Il était vraiment pas facile de rester debout, sur le qui vive avec la peur de commettre la moindre faute. En plus j’avais très faim… C’était difficile de la regarder en permanence manger son plat qui semblait vraiment délicieux.

Elle mangeait lentement, avec beaucoup de raffinement. Elle se mit à me poser des questions sur mes études, ce que faisaient mes parents, la chambre d’étudiant que j’habitais, mon petit frère, tout en savourant son plat. Je lui explique que mes parents ne sont pas très riche mais qu’ils tenaient à ce que je n’ai pas à travailler pour mes études. Toute la famille fait des sacrifices, c’est pour ça que j’essaie d’étudier sérieusement pour ne pas les décevoir. J’étudie tous les soirs jusqu’à tard.

Elle m’écoute et m’interroge avec un sourire indéfinissable, un peu hautain. Ma vie est très éloignée de son univers, ses fréquentations. Ça l’amuse beaucoup, elle n’a rien besoin de dire pour me faire ressentir sa supériorité.

– Tu vois que j’ai fini mon assiette esclave et que je n’ai plus de vin? Tu dois me demander si je ne veux pas autre chose, me proposer du vin…

– Avez-vous terminé Maîtresse? Souhaitez-vous autre chose?

– Oui esclave, sers moi le reste de légumes et de viande. Et sers moi un demi verre de vin.

Je m’applique pour faire une belle assiette et ne pas renverser la moindre goutte de vin.

Elle commence à manger un peu puis repose sa fourchette et repousse son assiette. Elle boit le vin et dit:

– J’ai déjà beaucoup mangé, je n’ai plus faim. Il faut que j’essaie de faire un peu attention. Tu peux tout jeter à la poubelle et débarrasser.

Elle se lève, me demande de m’approcher d’elle, à genoux. Elle plaque ma tête contre son bas ventre et me caresse les cheveux tendrement, sans rien dire.

– Tu peux embrasser mes chaussures.

Elle se tourne ensuite, je lève les yeux.

– Embrasse mon cul maintenant. Dit-elle en riant.

Je suis très surpris et hyper heureux. Ses fesses généreuses galbées de cuir son magnifiques. J’ai juste le temps de faire un baisé et elle s’éloigne vite.

– Tu vas me faire un café avec les capsules qui sont là. Je vais me reposer un peu sur le canapé du salon. Tu me l’apporteras là bas.

Elle emporte une petite boite de macarons et quitte la pièce. Je la rejoins 2′ après avec son café. Elle est assise sur le canapé en cuir. Il y a une petite table basse en plexiglas devant elle avec les macarons et une boîte de La Maison du Chocolat. J’attends avec la tasse à genoux auprès d’elle. Elle ne dit rien pendant 1′ et se décide enfin à prendre la tasse me laissant la soutasse dans les mains. Elle sirote une petite gorgée, me tend la tasse et me demande de la reposer avec la soutasse sur la table. Je dois ensuite lui présenter les chocolats pour qu’elle puisse en choisir un. Le parfum de chocolat est très fort et appétissant, c’est un supplice pour moi qui ai très faim.

– Retire mes chaussures maintenant, je vais m’allonger un peu.

Je hotte délicatement les escarpins de ma Maîtresse. Ses pieds sont divinement beaux, bien cambrés avec des orteils magnifiques.

– Ils te plaisent mes pieds?

– Oui Maîtresse ils sont superbes.

– Embrasse les, embrasse les partout.

J’ applique plein de baisers sur toutes les surfaces de ses pieds. Elle prend un macaron et me regarde amusée.

Tout à coup elle me repousse avec un pied sur la tête pour me dégager.

– C’est bon, ça suffit.

Elle s’allonge et me demande d’ajuster la couverture sur elle.

– Tu vas nettoyer à fond la cuisine, elle en bien besoin. Je ne veux plus une seule tache de gras. Je veux des plaques nickelles, les faïences et l’inox qui brillent, un sol parfait, des marmites neuves bref une cuisine ultra propre. Tu as tout ce qu’il faut. Alors au boulot, je suis gentille tu as 2H. En revanche pas de bruit, j’ai envie de me reposer et ne veux pas être dérangée par des bruits de vaisselle ou autre…

Le travail était particulièrement pénible. J’en avais vraiment marre. J’avais faim, il n’ y avait rien d’excitant à astiquer cette cuisine, mais il fallait que je le fasse. Je pensais à tout le travail qui m’attendait chez moi, pour la fac. Je n’avais aucune idée du temps que j’allais passer dans cette maison. Mais si j’abandonnais c’était terminé pour moi et j’étais envouté par cette femme cruelle. Alors que plein de travail m’attendait chez moi, je continuais à me démener comme un fou, le ventre vide pour cette belle femme envoûtante, tranquillement allongée sur son canapé.

Régulièrement je devais m’interrompre dans mon ménage pour lui apporter des choses. Un verre d’eau, une télécommande, réajuster la couverture… Elle n’avait absolument aucun scrupule.

– Esclave, viens ici, aux pieds ! Qu’est-ce que tu fiches? Tu vas me masser un peu les pieds pour me détendre.

Elle s’est assise, je me place à genoux devant elle, assis sur mes chevilles. Elle me tend son pied droit et pose le gauche sur ma cuisse. Je commence par frotter le haut du pied en descendant lentement vers la plante. J’augmente la pression en me rapprochant de la plante. J’utilise ensuite mes pouces et fais de petits cercles en exerçant une pression assez forte. Le frottement sur le nylon de ses chaussettes me brule un peu les doigts mais j’éprouve à un grand plaisir à m’occuper de ses pieds.

– Dis-donc tu te débrouilles bien…

– Merci Maîtresse

– Continue, ne t’arrête pas.

Je masse depuis plus de 15′.

– Retire mes chaussettes, et continue…

Le contact direct avec sa peau était beaucoup plus agréable. J’ai pu prendre chaque orteil pour l’étirer légèrement. J’ai également glissé mes doigts entre ses orteils.

– Tes mains sont douces, montre les moi!

Je tends mes mains vers elle. Elle ne les touche pas mais les observe.

– Tes mains sont vraiment très belles.

– merci Maîtresse.

– Tu fais du piano?

– Oui Maîtresse.

– C’est bien ça… Continue à me masser les pieds.

Elle s’étend un peu plus sur le fauteuil. Je recule pour lui laisser la place et reprend mon travail.

– Hum… C’est vraiment très agréable… Quel bonheur… Continue !

Ça doit faire 30′ que je lui masse les pieds.

– Malheureusement tu vas devoir arrêter, n’oublie pas que j’inspecte la cuisine dans 30′.

Elle voit mon air paniqué. Le massage de ses pieds m’a amputé mon temps de 30′ et il me restait beaucoup de choses à faire.

– Bon… Comme je suis une Maîtresse très gentille et que ton massage était exquis je t’offre 15′ supplémentaires. Mais en tout cas, si tu arrives à finir avant tu peux revenir pour me masser… N’hésite pas !

– Merci Maîtresse

– Mieux que ça, baise mes pieds.

J’embrasse le dessus de ses orteils. Elle sourit et me tend ses plantes de pieds jointes que j’embrasse de haut en bas.

– Allez remets mes chaussettes, j’ai froid.

Pendant que je lui remets ses chaussettes de nylon délicatement, elle sourit.

– Je dois aller aux toilettes pour faire pipi… Dommage je ne t’ai pas appris encore à… Bientôt je ne serais plus obligée de me déplacer si j’en n’ai pas envie, tu va apprendre… Tu verras…

Elle se lève en éclatant de rire en voyant ma tête un peu interloquée pendant que je rejoins mes corvées dans la cuisine.

Pour moi une course contre la montre commence. Même si je suis très fatigué, j’ai faim je trouve l’énergie nécessaire pour astiquer, nettoyer afin d’offrir une cuisine impeccable à ma nouvelle déesse. Je me dis que finir 5′ avant me permettrait de lui faire un massage qui lui fera plaisir. Elle sera contente de moi et ça m’aidera beaucoup pour l’inspection.

– J’ai fini de nettoyer votre cuisine Maîtresse.

– Quelle heure est-il? Ah super, tu vas pouvoir me faire un petit massage.

Je commence à m’agenouiller.

– Non tu vas me masser les épaules et les cervicales.

– Bien Maîtresse.

– Un peu plus fort. Oui c’est bien.

Cinq minutes plus tard, elle pose ses mains sur les cuisses, me regarde et se lève.

– Bon je me suis bien relaxé, on va jouer un peu… Allonge toi par terre devant moi.

Elle pose son pied droit sur mon ventre, appuie progressivement tout en me fixant du regard. J’essaie de ne pas trop grimacer… Elle lâche un peu la pression… Tout à coup elle met tout son poids sur son pied droit et lève son pied gauche. J’ai le souffle coupé et lâche un gros soupir. J’ai l’impression d’avoir reçu un gros coup de poing. Elle place son pied gauche sur la poitrine. Elle oscille ensuite son poids du pied gauche au pied droit. J’avais très mal… Elle se place ensuite les deux pieds sur ma poitrine, face à moi et s’amuse à me regarder grimacer avec un sourire sadique.

– tu aimes mon petit massage à moi?

J’avais beaucoup de mal à respirer. Ma poitrine me brulait.

– j’entends rien ?

– oui… Maitresse…

– Dis merci alors !

– Merci… Maîtresse

Elle pose son pied gauche sur ma bouche et transfert tout son poids sur le droit. J’avais très mal au sternum qui était totalement écrasé.

Elle s’amuse à transférer son poids des orteils aux talons, et scrute mon regard.

– Arrête tes grimaces, souris un peu… Je suis lourde?

– non… Maîtresse…

– je suis légère, alors? Je peux sauter?

Je panique.

– oui… Maîtresse…

– supplie moi de sauter?

– Je vous supplie… Maîtresse… De sauter sur moi…

– hum… Pas très convaincant… Non, je ne veux pas.

Elle éclate de rire.

– J’adore piétiner les homme… Je veux dire les eclaves… J’adore sentir ton corps vulnérable trembler sous mes pieds. Tu es totalement à ma merci, sous moi, si supérieure, je peux t’écraser comme je veux, c’est très excitant, ça me fait beaucoup de bien…

Elle me caresse ensuite le visage. avec le bout de son pied.

– tu as un beau visage esclave, c’est bien, c’est important… Je me demande s’il est confortable…

Elle descend enfin…

– assis toi par terre, tête posée sur le canapé, je veux m’asseoir dessus. Regarde le plafond… Enfin pour l’intant.

Toujours par terre j’ai du mal à me lever. J’ai l’impression de sentir encore son poids sur moi.

Je reçois un coup de pied sur les cotes.

– Dépêche toi, qu’est ce que tu fous?

J’arrive à l’installer, elle se positionne très vite et laisse ses fesses à 2 cm de mon visage. Prends ta respiration, respire bien. Ses fesses sont très belles mais j’ai peur…

– Elle est belle la vue, tu es prêt ?

5″ après ses fesses s’écrasent sur mon visage. Elle se relève 1″ et se rassoit. La pression est encore plus forte. Mon nez, mes yeux me font mal… Ça me parait interminable. Je fais des gros mouvement de tête pour la dégager, j’ai mal au coup… Elle se soulève.

-15″ c’est quoi ça ? Tu dois pouvoir rester 4 fois plus longtemps…

Elle recommence, je tiens 22″. J’ai failli m’évanouir.

– ta tête est assez confortable pour mon cul, mais va falloir soigner ton souffle et ton mental…

Elle me caresse la joue.

– Tu es belles marques, c’est mon pantalon… c’est bien tu as la peau douce, c’est important parce qu’en général je préfère le « face-sitting » cul-nul. Je n’aime pas sentir des poils sous mes fesses.

Elle se lève.

– bon on va aller voir cette cuisine… Tiens mets toi à 4 pattes esclave, tu vas faire le cheval pour m’emmener.

Elle s’assoit tranquillement sur mon dos, se positionne bien pour être confortable. Elle me demande d’attendre un peu. Elle range des choses. Elle semble boire un peu de son verre d’eau et prendre un macaron. Je suis impressionné, je crois qu’elle est totalement indifférente à ma fatigue, ma souffrance, ma faim, ma soif. Je ne sais pas si elle n’en pas conscience, si elle fait exprès ou si elle est juste totalement égoïste…

– Allez mon cheval, on y va, plu vite!

Je reçois un petit coup de cravache sur les fesses.

J’arrive enfin dans la cuisine. Elle me tapote la joue.

– c’est bien mon petit esclave. Ça m’a l’air pas mal du tout…

Elle a l’air contente. Elle ouvre les tiroirs des ustensiles, regarde les fenêtres, caresse les plaques, regarde partout…

– C’est très bien…

Elle me regarde, réfléchit…

– mets toi à 4 pattes, devant les plaques, tu vas me servir d’escabeau pour que je puisse au dessus de la hotte.

Je m’exécute. Elle se tient avec le plan se travail et parvient à monter debout sur mon dos.

Je me concentre pour ne pas m’écrouler. C’est très dure, mais je crois que c’est le dernier de ses soucis.

– il y a un petit peu de gras ici, pas beaucoup mais ce n’est pas complètement net, déplace toi un peu sur la droite. Sans me faire tomber! Oui dommage pas tout à fait net.

Elle descend.

– Alors, esclave?

– je suis désolé Maîtresse…

– Je m’en fou que tu sois désolé. Moi aussi je suis désolée, c’est dommage, c’était pas mal mais je vais devoir te corriger…

– pitié Maîtresse…

– je n’ai pas le choix… Il faut bien que je te dresse pour que tu apprennes. Allez ne me fais pas perdre mon temps, retire ton tablier et ta chemise et prosterne toi à mes pieds. Allez, un peu de courage, ne fais pas l’e n f a n t … Tu comptes les coups.

J’attends fébrilement le premier coup, les yeux à 2 cm de ses orteils.

– Ah !!!

– tu comptes et tu remercie, j’ai dit.

– « 1 », merci Maîtresse

– trop tard, on recommence, tu feras un petit bisou sur chaque pied…

Elle s’arrêta à 5. J’avais l’impression que mon dos était en s a n g …

– Bon on va faire autre chose, ça va aller plus vite et ça sera moins fatiguant pour moi. Va me chercher mes talons dans le salon.

Je pose avec précaution ses escarpins à ses pieds.

– tu vas mettre tes mains à plat par terre, les paumes vers le plafond.

Elle se place devant moi, chaque talon au centre des mains. Elle est sur les pointes mais applique petit à petit son poids sur les talons. Ça me fait terriblement mal, j’ai l’impression que mes mains vont être transpercées.

– chut… Oui ça fait mal ça…

– pitié Maitresse… Je ne peux plus…

– Ne t’inquiète pas, je l’ai déjà fait ça ne craint rien… Il paraît que ça fait mal, c’est vrai. moi je ne ressens rien dans ces chaussures elles sont très confortables. Allez baise mes chaussures, ça va t’aider à oublier la douleur.

Des larmes coulent de mes yeux. Je ne peux me contrôler. Elle le voit. Me sourit tendrement, sans bouger.

-Tu pleures mon petit esclave. Oh… Ca va allez, ne t’inquiète pas… Tu t’es pas mal débrouillé jusqu’à présent.

Elle me caresse les cheveux et plaque ma tête en larmes contre son pantalon.

– Chacun son rôle, chacun sa place tu sais… Je suis obligé de punir pour que tu apprennes, tu te souviennes. Tu es là pour souffrir et moi pour te faire souffrir.

Elle s’accroupit tout en laissant mes mains sous ses talons me fais une bise sur le haut du crâne. Elle saisit ensuite ma tête, me fixe en souriant, m’embrasse une première fois sur le front, une deuxième sur les lèvres.

Elle libère enfin mes mains et regarde son « œuvre »…

– Ah oui quand même… Ce n’est pas grave, tu vas te souvenir de moi comme ça… Un peu de crème et dans quelques jours ça ira mieux… Bon je n’ai plus beaucoup de temps, j’ai rendez-vous dans pas longtemps avec une amie pour un ciné. Tu vas juste ranger un peu le salon et tu passes rapidement l’aspirateur. Tu viens me voir quand tu as fini, je suis dans la salle de bain. Plus d’inspection pour aujourd’hui.

Elle me sourit d’un air moqueur mais tendre.

Une fois mon travail achevé, je la retrouve la salle de bain est embaumée par son parfum extraordinaire. Elle se coiffe, elle a l’aire vraiment heureuse. Je suis à genoux et la regarde. Elle me regarde à travers son miroir et sourit. Qu’est-ce qu’elle est belle !

Elle se brosse ensuite les dents soigneusement. Elle se retourne vers moi, me saisit la tête, approche sa bouche de la mienne et crache tout. Elle reprend de suite de l’eau, se gargarise et recrache à nouveau dans ma bouche.

Elle continue ensuite de se maquiller comme si rien ne s’était passé, tout était naturel.

Je suis choqué. Elle ne me regarde pas et met son rouge à lèvre, se maquille les yeux.

– Ca va un peu mieux tes mains, tu arrives à bien bouger tes doigts?

– Oui Maîtresse, ça me fait très mal, mis ça va un peu mieux.

– C’est un peu gonflé, tu vas avoir des bleus mais ça va passe. C’est le métier qui rentre. Enfin je ne sais pas comment on dit pour Esclave? Tiens tu vas me passer un peu de crème sur les mains si tu arrives à bouger tes doigts.

Je lui masse ses belles mains manucurées pour bien faire pénétrer la crème.

– Tes doigts sont toujours aussi doux, c’est agréable. En plus j’adore le parfum de cette crème. Bon il faut que je me dépêche je suis en retard. Le taxi arrive dans 5′.

Je l’accompagne vers un immense dressing. Il y a des étagères remplies de chaussures de toute sorte. Elle choisit de superbes bottes en cuir noir. Je suis heureux de l’aider à les enfiler.

– Elles sont belles, n’est-ce pas?

– Oh oui Maîtresse.

– Mais elles ne sont pas nickelles et ça désormais ça sera ton travail… Lèche la semelle en attendant.

Je laisse de haut en bas chaque semelle en lui tenant les mollets. Mes blessures au mains me font très mal.

– C’est bien esclave, lèche bien les bottes de ta Maîtresse, c’est bien mon chien.

Elle rit.

– Il faudrait me les faire briller un peu maintenant. Tiens, tu n’as qu’à prendre ton pull. C’est dommage, il est beau mais tu n’auras qu’à le laver.

Je frotte les bottes énergiquement avec mon pull pour les faire briller.

– Bon, désolé mon petit esclave mais il faut y aller maintenant, le taxi devrait déjà être là.

On est à l’entrée de la porte et on attend.

– Je suis d’accord pour continuer avec toi esclave. Je veux que tu me fasses un emploi du temps avec tes disponibilités. Je ne veux pas t’empêcher de faire tes études mais tu dois pouvoir me consacrer une dizaine d’heures par semaine. Tu prends ce temps sur tes loisirs, ton repos, tes repas, ce que tu veux tu te débrouilles… Je suis certaine que tu peux y arriver. Tu es d’accord, tu veux continuer?

– Oui Maîtresse.

– C’est bien, alors on va se revoir souvent.

– Merci Maîtresse.

– Tu peux emporter ta blouse avec toi. Il faudra la laver. Ah oh fait, tu me dois 27 euros, tu peux me payer la prochaine fois.

Je n’en croyais pas mes oreilles. Je venais de passer des heures à nettoyer sa maison gratuitement et elle me demandait de rembourser la blouse. Je savais que cette somme était dérisoire pour (mais pas pour moi), que ce n’était rien du tout mais elle voulais m’humilier, me rabaisser le plus possible.

– Tu as un peu souffert mais tu vas pouvoir repartir en te disant que tu as pu m’apporter un peu de plaisir et me faciliter la vie. Je déteste le ménage, je trouve ça terriblement ennuyeux, je n’aime pas me fatiguer pour rien et grâce à toi j’ai une salle de bain, une cuisine, des toilettes, un salon bien propre. C’est super, non?

Oui Maîtresse.

– Et puis on s’est bien amusé tous les deux.

– Merci Maîtresse

– C’est bien, baise une dernière mes bottes, le taxi arrive.

On sort tous les 2. Elle monte dans son taxi, me dit à très bientôt, je me dirige vers le métro. Je suis sonné comme un boxeur KO, tout se mélange dans ma tête

Je suis heureux d’être libre mais suis pressé de la revoir.

A suivre…

Second épisode ….

A la demande de ma nouvelle Maîtresse j’avais préparé et transmis par mail un emploi du temps précis avec les horaires de mes cours, les dates de mes partiels, mes vacances, jours fériés, etc. Elle devait pouvoir m’appeler à tout moment. Si j’étais dans l’impossibilité de me déplacer il fallait que j’envoie un long message d’excuses pour implorer son pardon et sa clémence. Libre à elle ensuite, de me punir plus tard ou de m’éjecter définitivement. Je n’avais plus de nouvelle depuis plusieurs jours quand je reçu un SMS laconique. « Viens le plus vite possible esclave, j’ai besoin de toi. » Crevé par une journée de cours intenses, j’avais prévu une petite soirée tranquille chez moi, mais j’étais euphorique à l’idée de retrouver cette femme envoûtante. J’étais très excité mais j’avais peur qu’elle me fasse trop mal et que je ne le supporte pas…

Quand elle m’ouvre la porte je suis très surpris de la trouver téléphone à la main dans une tenue décontractée, un pyjama en satin noir, une grande veste en mohair par dessus, pieds nus dans des pantoufles fourrées. Elle est prise dans sa conversation téléphonique et me regarde à peine, se contentant de m’indiquer la direction de ses pieds avec son doigt.

Je comprends très vite, me prosterne à ses pieds en embrassant chacune de ses pantoufles.

– Bon je vais de voir te laisser il vient d’arriver.

Intrigué et inquiet, je me demande à qui elle s’adresse. je crois percevoir une voix féminine. Elle rit.

– Tu es bêtes… Bon allez je t’embrasse ma chérie !

Je reste à ses pieds sans oser bouger, me sentant un peu bête.

– Tu as ta petite blouse de sous-fifre?

– Oui dans mon sac Maîtresse. Je l’ai toujours avec moi.

– Hum, c’est un bon petit esclave ça, organisé, prévoyant.

– J’ai également les 27 euros pour vous rembourser la blouse.

Elle rit.

– Relève toi, Pose l’argent ici et mets ta blouse. Reste habillé parce que tu va commencer par laver ma voiture. Ça m’amuserait beaucoup de te voir dehors à poils mais tu vas attr a p e r la crève et un esclave malade me servirait pas à grand chose…

C’était une magnifique Audi A1 noir nacré garée sur l’allée à l’extérieur, devant le garage. J’avais tous les produits d’entretien et matériel nécessaire dans le garage. En me tendant les clés, elle m’a demandé de faire très attention, sans plus de consignes. Après le jet d’eau j’ai frotté avec une éponge douce et un peu produit pour la laine. J’ai du changer plusieurs fois l’eau pour laver les roues très sales. Le travail n’était pas passionnant, j’avais surtout peur de faire une bêtise, mais j’ai aimé caresser le cuir des fauteuils avec mon chiffon et le produit spécial. Je l’imaginais assise au volant…

Lorsque le travail fut terminé je suis rentré, plutôt fier du résultat mais avec la crainte qu’elle ne trouve n’importe quelle excuse pour me corriger.

En fait elle n’a même pas regardé, elle m’a juste demandé de me mettre en caleçon et avait une liste d’autres taches ménagères à me confier.

Je me suis encore une fois retrouvé à faire la vaisselle, nettoyer la cuisine, laver le sol. Dans le salon j’étais à quatre pattes pour lustrer le parquet avec un chiffon. Elle était assise confortablement sur le canapé à pianoter son ordinateur portable sur les genoux. Elle ne se préoccupait pas de moi. J’étais juste une bonniche, ce n’était ni amusant ni très excitant. Depuis un moment, je cogitais beaucoup en pensant à ma situation…

– Qu’es-ce que tu as à faire la gueule esclave? Tu crois que c’est marrant pour moi de devoir subir ta tronche de chien battu quand j’essaie de me détendre? Viens ici, aux pieds!

j’avance à quatre pattes jusqu’à ses pieds. Elle m’attr a p e la tête avec la main gauche et me balance une claque v i o l ente avec la droite.

– Qu’est-ce qu’on dit?

– Merci Maîtresse.

– Ouvre la bouche.

Elle m’attr a p e la tête avec les deux mains pour cracher directement dans ma bouche.

– Mets toi à quatre patte devant moi, ton dos va me servir de repose pieds.

Je m’exécute.

– Un peu plus bas.

La position n’est pas très confortable mais je suis content d’avoir ses deux pieds sur mon dos.

– Tu gâches tout esclave, c’est dommage. Un peu de ménage c’est quand même le minimum que je sois en droit d’exiger de mon jeune esclave, tu ne crois pas?

– si Maîtresse.

– J’ai une femme de ménage mais elle n’est pas tout le temps là, je ne peux pas tout lui demander, en plus elle commence à être vieille, elle a mal au dos… Je devrais la virer mais je sais qu’elle a besoin de ce travail minable et je suis trop gentille… Alors je la garde… Mais si tu commences à m’ennuyer, c’est toi que je vire. Tu veux ça?

– Oh non Maîtresse, je vous en supplie…

– Un esclave doit tout accepter de sa Maîtresse. Tes seules limites sont celles que je fixe moi. Ce n’est pas à la carte l’esclavage, c’est tout ou rien. Je veux bien te garder un peu à l’essai mais après tu devras signer un contrat si je te garde. ça n’a rien de juridique mais c’est un symbole très fort, c’est encore plus important… Tu es ma chose, chaque centimètre de ton corps m’appartient, tu dois tout accepter si je te le demande, que ça soit douloureux, fatiguant, humiliant, dégradant, tout… à partir du moment où je te le demande.

J’écoutais attentivement mais un peu effrayé. Elle reposait toujours ses deux pieds sur mon dos et parlait tranquillement d’une voix calme, comme si la situation était parfaitement naturelle. Le contraste entre sa voix douce et ses propos était troublant.

– Là j’ai envie que tu fasses du ménage que je n’ai pas l’intention de faire moi même ou que je ne peux pas confier à ma femme de ménage, alors tu le fais. Ce n’est pas grand chose… C’est fatiguant, peut-être, ce n’est pas mon problème, je m’en fou… Tant que ce n’est pas moi qui me fatigue c’est la seule chose qui compte pour moi et qui devrait compter pour toi. c’est clair?

– Oui Maîtresse.

Elle me présente un de ses pieds qu’elle a déchaussé.

– Baise le pied de ta maîtresse.

Il est vraiment magnifique, d’une féminité provocante, je l’embrasse avec dévotion.

– Hum mais je vois à travers ton caleçon que mon pied te fait de l’effet?

Elle rit. Je suis rouge mais je peux difficilement cacher mon érection.

– Mets toi sur le dos.

Elle plaque ses deux pieds nus sur ma tête. Pour moi c’est le bonheur, je dois avoir un sourire bête.

Elle s’amuse à me frotter les pieds sur mon visage. Ils sont chauds et un peu humides avec une légère odeur de transpiration. Je suis envoûté. Elle semble amusée par le pouvoir que ses pieds ont sur moi.

– Ils te plaisent mes pieds?

– Oui Maîtresse.

– C’est normal, ce sont les pieds de ta Maîtresse, tu dois les chérir, les vénérer.

– Oh oui Maîtresse.

– Tu dois en prendre soins, ils sont bien plus importants que toi. Tu dois être prêt à te sacrifier pour eux.

Je ne comprends pas ce qu’elle veut dire mais réponds.

– Oui Maîtresse.

– Baise les maintenant, montre moi comme tu les aimes.

Je les embrasses partout. La peau est soyeuse et délicate. Elle s’amuse de temps en temps à les déplacer pour que je soit obligé de contorsionner pour continuer à les embrasser.

– Tire la langue!

Elle frotte chaque plante de pied sur ma langue et rit. Elle s’essuie les pieds sur ma blouse et mon caleçon, puis me jette un coussin.

– Mets ça sous ta tête, j’ai envie de l’écraser sous mes pieds…

Je me mets sur le dos et attends apeuré et excité qu’elle me monte dessus. Debout, elle me scrute comme si j’étais sa proie. Un premier pied se plaque sur ma bouche.

– Donne moi tes mains.

Je lui tends les mains pour l’aider à garder son équilibre. elle ne me quitte pas du regard. J’ai tout son poids sur ma mâchoire, j’ai l’impression qu’elle va exploser, son deuxième pied se plaque ensuite sur mon front. J’ai les bras tendus, ses mains chaudes et douces dans les miennes et ses pieds qui m’écrasent la tête. Elle est légèrement penchée mais me lâche progressivement les mains. Elle a trouvé son équilibre, j’ai tout son poids sur la tête.

– Ca va en dessous esclave? Hi hi, tu ne peux pas parler, ce n’est pas grave… J’adore être sur ta tête, quel meilleur sentiment de puissance, de pouvoir?

J’ai l’impression que ma tête va exploser.

– Tu sais esclave, je bougerais quand j’en aurais envie, là je suis bien avec ton cerveau sous les pieds.

Elle rit. Je n’en peu plus. Elle libère enfin ma tête torturée.

– Oh les belles traces de pieds, c’est mignon… Remet moi mes pantoufles.

Je m’exécute avec grande délicatesse et un grand mal de crâne…

– Comme tu aimes mes pieds j’ai quelque chose qui devrait te faire plaisir… Tu vas astiquer mes chaussure. Suis moi !

Dans le dressing, les chaussures occupent une place de choix. Elles semblent toutes provenir de boutiques très chiques. Il y a des ballerines, des mocassins, des escarpins, des bottines à lacets, des bottes, des sandales, des chaussures de sport, des mules, des chaussures en toile, … même des espadrilles et des tongs… un paradis. c’est le palais de la belle chaussure, plus élégantes les unes que les autres. Cette fois-ci je suis très enthousiaste. Je dois utiliser des chiffons, cirages et crèmes prévus à cet effet. A chaque paire de chaussures entre les mains, j’imagine ses pieds de déesse à l’intérieur. J’ai vécu un grand moment de bonheur, même s’il a ne m’ a confié que deux étagères de chaussures.

Elle est venu inspecter mon travail rapidement en piochant 2 ou 3 paires pour les examiner. Elle n’a rien trouvé à redire.

– Pas mal esclave, pas mal…

Elle réfléchit, me regarde et prend ensuite dans une étagère d’été, une paire de tropézienne qui ne faisait pas partie des chaussures dont je devais m’occuper. Je suis troublé, j’ai peur de sa réaction…

– Tiens, celles-ci tu vas les lécher. Allez au boulot le petit chien, commence par l’intérieur, la semelle est sale je voulaient les changer mais je les aiment bien… je veux qu’elles soient comme neuves. Allez lèche le chien, lèche bien.

Il y a des marques de saleté accumulée à l’intérieur, mais elles ne sont pas dans un état épouvantable. A f o r c e de passer ma langue la saleté s’estompait mais je devais l’avaler. Le goût était salé, mais pas spécialement désagréable. Ca ne me dérangeait pas du tout. En revanche quand il a fallu nettoyer les semelles extérieures rappeuses, s’était beaucoup moins agréable.

Elle s’était assise tranquillement sur le banc en velours et me regardait avec condescendance m’humilier en léchant avec application ses semelles de chaussures.

– Tu as déjà fait de l’équitation, esclave?

– Non Maîtresse.

– C’est vrai??? Moi j’adore l’équitation, j’étais toute petite la première fois que je suis monté sur un cheval, mais ça fait quelques années que je ne monte plus… J’ai une amie qui domine également les hommes, c’est une « gynarchiste » militante. Elle est très jeune, à peine 30 ans mais elle m’a appris énormément de choses. Elle a plusieurs hommes à ses pieds qu’elle exploite et martyrise, pour leur plus grand bonheur…

Je ne voyais pas trop où elle voulait en venir, je continuais à lécher studieusement les semelles de ses sandales. Ma bouche était sèche.

– Elle utilise un de ses soumis comme « ponyboy », elle le monte régulièrement, elle l’a super bien dressé et fait maintenant de longues ballades sur ses épaules. Ca me plairait beaucoup de pouvoir faire ça avec toi. Tu en penses quoi?

– J’aimerais bien Maîtresse, mais je n’ai jamais pratiqué…

– Ce n’est rien ça, ce n’est pas très compliqué… tout ce que tu as à faire c’est porter ta Maîtresse sur les épaules et avancer sans la faire tomber.

– Oui Maîtresse

– Je ne veux pas prendre de risque et me faire mal… Elle est d’accord pour te dresser quelques séances et faire de toi un bon cheval capable et réactif. Comme ça on pourra faire des ballades sympas avec elle et son soumis. Je vais essayer d’organiser ça assez vite. En attendant il faut que tu penses à te muscler régulièrement. Il ne faudra pas me mettre la honte, si non tu vas te souvenir de ta correction…

– Oui Maîtresse.

L’idée me plaisait mais je ne savais pas si je serais capable et j’avais peur qu’elles soient peu indulgentes et compréhensives avec moi.

– Bon c’est bon la sandale, tu peux arrêter. fais voir ta langue !

Je tire la langue honteux… Elle éclate de rire et me regarde d’un air moqueur et triomphant.

– Elle est devenue grise !!! C’est dégoûtant, on dirait vraiment un animal… Je ne sais pas si elle va retrouver ça couleur naturelle…Je veux que tu baises mes pieds maintenant et que tu me remercie pour t’avoir donner des petites corvées à faire. Merci surtout tu me touche pas avec ta langue pourrie. Je t’écoute.

Rouge de honte, la tête inclinée vers ses pantoufles je cherchait mes mots pour lui exprimer ma gratitude. J’avais un peu de mal…

– Allez dépêche toi, on n’a pas toute la soirée, je veux aller me coucher. Et elle me flanque une gifle.

Une fois satisfaite de mon petit discours elle me libéra enfin. Il fallait que je cours pour ne pas rater le dernier métro…

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